Gisèle Buthod-Garçon
Curriculum Vitae
Naissance à Salon-de-Provence (Fr) en 1954.
S’installe à 30 ans dans son nouvel atelier à St Quentin-la-Poterie (Fr).
Résidences et voyages d’étude en Egypte, Burkina-Faso, Mali, Bénin, la Chine, au Japon, ….
Expositions personnelles depuis 36 ans. Participation aux expositions collectives dans plusieurs pays Européens en aux Etats-Unis.
Elle est reconnue internationalement par des galeries d’art renommées et des centres de céramiques importants.
Inspiration
De multiples sources d’inspiration ….
Dames noires, Pandora et Boîtes, Les grandes jarres, Montagnes, Failles, Spirales et Carrés, Cocons, Torsions, Cornues, Pèlerin, Torses, Connivence – Le montagne à la plaque, Vagues et Nuages, Quiétude Silencieuse, sereine – Les pièces engobées, Cascade, Nocturne, Bruits de mer, Bienveillants, Têtus, Sentinelles, Germinations ...
Ces sculptures récentes « d’après nature « sont des volumes aux teintes de ciel (dans de subtils camaïeux de gris, de bleu et de vert).
Il y a cet aspect mystérieux qui rappelle toutes sortes de références ancestrales : le côté anthropomorphe de ces sculptures évoquent les plus anciennes oeuvres de l’humanité, ou des morceaux de corps, de lointaines évocations de bustes ou de visages.
Technique
Son travail est conditionné par l’adoption d’un mode de cuisson spécifique, la cuisson raku.
Le particularisme dont témoignent ces œuvres c’est d’avoir arraché à cette technique basse température, qui en principe ne l’autorise pas, des émaux inédits jusque-là. Email gras et raku semblent à jamais dissonants, pourtant elle a établie sa notoriété sur ce paradoxe.
Stéphane Le Follic-Hadida (Commissaire de l’exposition dédiée à Gisèle Buthod-Garçon en 2018 au centre Keramis à La Louvière (B) intitulée « la terre, simplement »)
